It remembers me of this one : Adam et Ève en palindromes de Luc Etienne. Présentation d’Adam : UN NU NÉ DE L’ÉDEN NOBLE, BEL, BON. Création de la femme : COTE-TOC : ÈVE ! « AVE, ÉVA ! » Sommeil innocent : ÈVE RÊVE ROSE VERTE ET RÊVES OR Mais il fait chaud et le serpent veille : L’ÉTÉ, TA LÈVRE, SERPENT, NE PRÉSERVE LA TÊTE, NI L’ÂME, MALIN ! [...] Rêveries malsaines et désirs : L’ÂME D’ÈVE RÊVE DE MAL [...] Œillade à Adam : ÈVE, LE NÉNÉ LEVÉ : - TOI, DIS, IDIOT, AVEC ÉVA ? Sa réponse : TOPE-LÀ, ÈVE ! (ÈVE A LE POT !) [...] Candeur et surprise de Monsieur : « ÈVE, LE SEXE SE LÈVE ! » (à part) : (ELLE M’EFFRENE LE NERF, FEMELLE !) Curiosité manuelle d’Ève : ÈVE TÂTE L’ÉTAT - SI NE PLIERA PAREIL PÉNIS ? Indiscrétion digitale d’Adam : C’EST SEC ? NON ! Feinte résistance d’Ève : NON, NA ! MAMAN ! NON ! Consommation : NOCE : L’ADORÉ RODA LE CON [...] Colère de Dieu le Père : AVEU : « TRÊVE DE VERTU, ÉVA ! FI ! CON NOCIF PUNI ! PIN-UP ! ICI DE TROP ! À LA PORTE D’ICI ! » [...]
Palindromes, especially long ones, give me a strange nightmarish feeling. I don't know exactly why. They remind me of nightmares I had a lot when I was a kid, and sometimes still have, which last even after I wake up and involve terrible word- or number-related compulsions. They are usually very hard to explain. But involve the moment of a horrifying mistake, a path taken that can't be turned around on, which in the moment of the nightmare is suddenly the wrong path, such a wrong path. The numbers 2 and 3 are sometimes primal in them. So when I see a palindrome I feel this awful narrowing of possibilities that literally comes close to inducing a feeling of panic in me. As the left half of the palindrom marches blithely, innocently on, each letter becomes a test, where success is a one-in-a-million shot.
couch potato is more fun though.
Adam et Ève en palindromes de Luc Etienne.
Présentation d’Adam :
UN NU
NÉ DE L’ÉDEN
NOBLE, BEL, BON.
Création de la femme :
COTE-TOC :
ÈVE !
« AVE, ÉVA ! »
Sommeil innocent :
ÈVE RÊVE
ROSE VERTE ET RÊVES OR
Mais il fait chaud et le serpent veille :
L’ÉTÉ, TA LÈVRE, SERPENT, NE PRÉSERVE LA TÊTE,
NI L’ÂME, MALIN ! [...]
Rêveries malsaines et désirs :
L’ÂME D’ÈVE RÊVE DE MAL [...]
Œillade à Adam :
ÈVE, LE NÉNÉ LEVÉ :
- TOI, DIS, IDIOT,
AVEC ÉVA ?
Sa réponse :
TOPE-LÀ, ÈVE ! (ÈVE A LE POT !) [...]
Candeur et surprise de Monsieur :
« ÈVE, LE SEXE SE LÈVE ! »
(à part) :
(ELLE M’EFFRENE LE NERF, FEMELLE !)
Curiosité manuelle d’Ève :
ÈVE
TÂTE L’ÉTAT
- SI NE PLIERA PAREIL PÉNIS ?
Indiscrétion digitale d’Adam :
C’EST SEC ?
NON !
Feinte résistance d’Ève :
NON, NA ! MAMAN ! NON !
Consommation :
NOCE : L’ADORÉ RODA LE CON [...]
Colère de Dieu le Père :
AVEU : « TRÊVE DE VERTU, ÉVA !
FI ! CON NOCIF
PUNI ! PIN-UP !
ICI DE TROP !
À LA PORTE D’ICI ! » [...]
So when I see a palindrome I feel this awful narrowing of possibilities that literally comes close to inducing a feeling of panic in me. As the left half of the palindrom marches blithely, innocently on, each letter becomes a test, where success is a one-in-a-million shot.